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Durant les temps anciens, des hommes éclairés,
Humbles et courageux, défendaient leur foyer.
Ils étaient respectés par tout la lignée,
Une forme de culte leur était voué.
Défenseurs des minorités et des enfants.
Craints par les plus grands et les brigands.
Bien sûr, ils avaient peur, c'était moins flagrant,
Ils ont fait l'erreur d'être condescendant.
Et leur clan l'a chèrement payé de sa vie,
C'est la pire torture qu'ils ont subit.
Voir leurs proches souffrir par ressentiment.
Et même aujourd'hui il y a un battement.
Leur égoïsme est condamné par les instincts.
Et la mort est leur seule fin
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Je suis désolée de ne pas avoir posté de poème le 2 novembre 2016. En début d'année je me suis fixée le créneau d'un poème par semaine, tous les mercredis à 16 heure, et j'arrive à gérer sans problèmes. mais la semaine dernière, j'ai dû partir en urgence dans un lieu sans Wi-Fi pour des problèmes personnels. Finalement, j'ai su résoudre mes problèmes plus tôt et j'ai hésité à vous poster un poème samedi, je me suis finalement rétractée car je ne voulais pas casser le rythme que j'imposait.Les poèmes reprendrons leur cours dès le 9 novembre 2016.
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Dans mon esprit, les tumultes
Regroupées catapultent
Les pensées occultes
Et moi j’exulte de ces insultes
Les affronts mourront, sûrement plongeront,
Ils combattront, vaillamment gagneront.
Mais nous nous vengerons et vaincrons,
Ainsi leurs dessins seront mis en décomposition.
Oh traître de mon cœur!
Pourquoi aider le malheur?
Au lieu d'éclore les fleurs.
Oh, utopie de ma vie
Pourquoi aider les bandits?
Au lieu de sauver ma compagnie
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Les nuages s'amoncellent dans mon esprit,
Les prémices et déboires de futurs soucis.
Bien sûr le soutient est présent et amical
Les piliers du quotidien, qui me sont utiles
Malheureusement je ne me sens plus intégrée,
A cette société de jugement ou le tri des sociétés
Est aussi présent, soit, je n'y suis pas intégrée
Et beaucoup cherchent à me le reprocher
Sachez que vous ne pouvez m'atteindre,
Aucunes de vos manières ne pourra m'aveindre
Je ne crois plus coller au moule qui m'a été assigné
Vous n'êtes que des suiveurs, restez dégénérés,
En bon lamba et continuez de le vouloir,
Je serais votre mouton noir.
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Je ne crois pas t'avoir jamais donné de moyen,
De consentement me faire sentir à ce point
En manque de cette affection et de tes câlins.
Jamais je n'ai douté de toi et de ton baratin.
Toi qui devais me protéger face à cette académie.
Tu es de mon sang, tu es pourtant mon géniteur.
Comment peux-tu accepter de me voir dans cette anémie?
Comment peux-tu ne pas voir ce problème majeur?
Je prie pour que tu ne fasse pas exprès;
De me rejeter et de me laisser me languir
Dans cet état ou tu ne contrôle rien de ton plein gré
Parfois je me sens partir, tout simplement mourir,
Et je ne trouve pas et surtout ne cherche pas de raison
De te voir, de me battre, de rester, de trouver ma maison.
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