• L'ouragan qui se déchaine dans mon esprit

    Me rappelle toutes ces preuves que j'ai subi,

    Toutes ces sornettes que les âmes perdues

    On seulement décidé de reprendre, j"en tombe des nues

     

    Et je découvre la cruauté de ce monde

    Les masques qui cachent mes blessures sont solides

    Mais les regards qui me transpercent sont fait d'acide,

    Ainsi je chute vers un monde sans mansuétude

     

    L'éveil est douloureux, mon propre spleen,

    Alors ma vie se transforme en perpétuel Halloween

    Et je plonge dans le monde du despoir.

     

    Alors je me laisse choir,

    Et ma voie s'éclaire vers la lumière;

    La douceur m'envahit, il n'y a plus de cache-misère.

     


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  • Tu as rompu ces sentiments, cette adoration

    Nous la ressention, ce lien, avant cette humiliation,

    Cette union, cette osmose, à la limite de la perfection,

    N ous rapprochant de ce précipice, de cette passion.

     

    Les bourgeons amoureux qui fleurissaient dans mon esprit,

    Le soir lorsque les tourments nous avaient repris

    Et que, malencontreusement, tu en étais contrit.

    Ces magnifiques fleurs faisaient partie, de toi aussi.

     

    Suite à la peine que tu m'infliges, cet abandon,

    Tu n'oses plus me croiser, que sais-tu des affronts

    Que j'ai, un jour dû subir,sans ton intervention.

     

    Oh ode à mon cœur,

    Toi, tellement destructeur,

    Peux-tu seulement effacer ton erreur?


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  • Je pense encore aux temps de pluie qui m'ont souillée,

    Aux bords des cahiers cornés, aux pages tournées,

    A ces habits, ces illusions, ces vestons mouillés,

    Sans ménagements, perdus, dans les méandres de mes pensées.

     

    Je me souviens des temps doux d'automne,

    Où l'âme encore innocente des enfants papillonne,

    Sous l’œil attentif des corbeaux, seuls transits de l’ingénue,

    Qui cherchent encore les mâts de leurs bateaux, épaves perdues.

     

    Les souvenirs a marquer d'une pierre blanche,

    Lorsque les émotions se déclenchent,

    Et que la raison les rattrapent, témoin de la déchéance.

     

    Les fleurs de nos amours futurs

    Qui éclosent, une fois bien murs,

    Fruits d'une relation qui perdure.


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